Au matin de la France chrétienne

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Description

Au matin de la France chrétienne raconte comment l’évangélisation de la Gaule a commencé dès le premier siècle, comme le confirment de récentes découvertes archéologiques. Son histoire s’ouvre avec l’arrivée en Provence, d’une barque transportant Lazare de Béthanie, ses soeurs et quelques amis. Elle se poursuit avec l’envoi, par saint Pierre, de sept missionnaires ; puis le mouvement amorcé s’amplifie et de nombreux et intrépides messagers de l’Evangile sillonnent la Gaule en tous sens, souvent au péril de leur vie. Peu connus, ils sont pourtant les pierres de fondation des futurs diocèses, comme le raconte Francine Bay dans des récits captivants richement illustrés. Un livre qui permet à tous de découvrir les profondes racines chrétiennes de la France.

Francine Bay est l’auteur de plus d’une vingtaine de livres, récits et vies de saints, dont certains traduits en anglais. Transmettre a publié notamment Saints et miracles eucharistiques, ainsi qu’une Petite histoire de l’Eglise, dont le succès ne se dément pas.

Préface du cardinal Robert Sarah

L’historien de l’art Dominique Ponnau, directeur honoraire de l’École du Louvre, a bien mis en évidence la matrice chrétienne de la nation française tout en déplorant avec raison la grande ignorance religieuse de nos contemporains, ce qui les empêche non seulement d’entrer dans l’intelligence de l’art, mais aussi d’avoir accès à une connaissance à la fois élémentaire et plus profonde : l’identité de leur pays et donc leur propre identité.

Que devient un peuple sans cette composante essentielle ? Il est comme un fleuve large et majestueux coupé de sa source : tôt ou tard, il se dessèche, meurt et disparaît sous le sable. II est comme un arbre sans racine qui, après s’être desséché, tombe sans fracas ; cela s’apparente à une implosion qui correspond à cet affaissement auquel nous assistons notamment dans le domaine de l’éducation, à commencer par l’Université. Celle-ci devrait pourtant être « le temple du savoir qui concourt à satisfaire le besoin primordial de la nature humaine, celui de la connaissance, en vue de l’édification d’une nation digne de ce nom » selon saint John Henry Newman.

L’ouvrage de Madame Francine Bay, que j’ai la joie de présenter, répond à cette préoccupation puisqu’il permet au lecteur avide de découvrir l’enracinement spirituel et culturel de la France, Fille aînée de l’Église, de parcourir les voies romaines qui ont conduit les premiers évangélisateurs, de Marseille (saint Lazare) à Lyon (saint Pothin) en passant par Toulouse, Périgueux, Paris, Amiens. Rouen… Ce fut une épopée lumineuse et flamboyante guidée par l’Esprit Saint et marquée par le sang des martyrs, dont le véritable détonateur – si l’on peut dire – est constitué par ces paroles de Notre-Seigneur : « Allez dans le monde entier. Proclamez l’Évangile à toute la création » (Mc 16,15). Quelle aventure missionnaire incomparable ! En présentant les premiers évêques des principaux diocèses de la France, l’auteur montre bien que l’espace de la chrétienté s’est structuré autour des évêques, successeurs des apôtres. Les premiers témoins du christianisme sûrement attestés en Gaule sont les martyrs de Lyon et de Vienne en 177, dont le primat des Gaules, saint Pothin.

Mais il y a plus : l’affirmation suivante de l’auteur est corroborée par Michel de Penfentenyo dans son célèbre ouvrage : Aux sources de la France (Téqui, 2000) : la France, alors qu’elle s’appelait encore la Gaule, a reçu ses premiers évangélisateurs de saint Pierre lui-même. En effet, le récit liturgique consacré à sainte Marthe et rapporté par Dom Guéranger, relate l’arrivée en Provence des deux sœurs Marthe et Marie, accompagnées de Lazare, qui sera fait évêque de Marseille, ainsi que Maximin qui sera le premier évêque d’Aix. Et puis, nous avons cette lettre de 450 adressée par les évêques de la Provence au pape saint Léon le Grand : « C’est un fait de notoriété publique dans toutes les parties de la Gaule – et qui n’est pas non plus ignoré dans la sainte Église romaine –, que la cité d’Arles, la première dans les Gaules, a mérité d’avoir un évêque en la personne de saint Trophime, envoyé par le bienheureux apôtre Pierre ».

Qui sont ces premiers chrétiens gallo-romains ? Les communautés chrétiennes aux alentours de Lyon et de Vienne, dénoncées par la vindicte populaire en 177, nous sont connues grâce à la lettre, rédigée en grec, que les survivants ont envoyée à leurs « frères d’Asie et de Phrygie qui ont la même foi et la même espérance en la rédemption » et qu’Eusèbe de Césarée nous a transmise : tous les milieux sociaux y sont représentés : esclaves, comme Blandine et comme le diacre Sanctus, humbles tâcherons, grands propriétaires locaux, citoyens romains, tous victimes d’une persécution sanglante. Ces chrétiens dénoncés et qui refusent de renier leur foi sont livrés aux bêtes dans l’amphithéâtre de Lyon. Puis, remontant le grand axe commercial Rhône-Saône, en plein pays celtique, une communauté chrétienne s’est également établie à Autun… C’est alors qu’on assiste à l’éclosion lente et progressive d’une nouvelle culture chrétienne – qu’on appellera bien plus tard la chrétienté – à partir d’une transformation des mœurs, de la législation et des us et coutumes, qui grâce à la foi au Christ, purifient le substrat païen de la société gallo-romaine.

En effet, la foi chrétienne a modifié les conduites individuelles de ses fidèles. Mais comme insiste souvent le Pape Benoît XVI, ce qui a surtout contribué à changer profondément les mentalités et les comportements des peuples, ce sont la foi et la rencontre personnelle et intime avec Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié par amour pour nous : « Nous avons cru à l’amour de Dieu : c’est ainsi que le chrétien peut exprimer le choix fondamental de sa vie. À l’origine du fait d’être chrétien, il n ‘y a pas une décision éthique ou une grande idée, mais la rencontre avec un événement, avec une Personne, qui donne à la vie un nouvel horizon et par là son orientation décisive » (Deus Caritas est, n.1). L’Église et ses ministres, à commencer par les premiers évêques des diocèses qui se constituent dans les cités romaines, nourris, éclairés et stimulés par la foi en Jésus Christ, lui notre véritable Paix, exaltent des vertus telles que la paix, la douceur, l’humilité, le pardon et la tempérance créant ainsi un nouveau mode d’agir et de vivre. Le commandement de Jésus « Aimez-vous les uns les autres » implique des devoirs précis, et d’abord la charité envers les pauvres et les délaissés. Cet amour du prochain constitue progressivement le ciment de cette société en pleine éclosion, car le christianisme naissant insuffle au monde romain un esprit nouveau qui pénètre lentement tous les comportements et insuffle toute une nouvelle conception de l’homme et de la vie, et du respect sacré qu’on leur doit.

Enfin, il nous reste à souligner ce point essentiel : le rapport à la mort. Alors que dans la société païenne, la mort est une souillure contagieuse qui doit être purifiée au plus vite, la foi chrétienne, à la suite du judaïsme, introduit dans ce domaine un bouleversement total, en affirmant l’immortalité de l’âme et la résurrection de la chair. Ainsi, la mort physique n’est que le passage vers un au-delà baigné de la Lumière et de la Paix de Dieu, le Ciel, où vivent les saints pour les siècles des siècles. Tous mêlent leurs voix à celles des anges : ils adorent la Très Sainte Trinité en ne cessant de chanter jour et nuit : « Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur Dieu, le Souverain de l’univers, Celui qui était, qui est et qui vient » (Ap 4,8). Telle est l’Église, cette communauté de vie des élus qui, dès cette terre, dans son enseignement, présente le Ciel comme le terme ardemment souhaité de toute vie humaine sauvée par le Sang du Christ Rédempteur,

Jésus avait ordonné à ses disciples d’être « la lumière du monde, le levain dans la pâte, le sel de la terre », ce qui les a conduits à partir pour évangéliser le monde. L’épopée missionnaire de la France devenue chrétienne, jamais achevée, y compris au XXIe siècle, est un exemple qui pourrait stimuler nos contemporains dans cette Nouvelle Évangélisation à laquelle les Papes, depuis saint Jean-Paul II les appellent au titre de leur baptême. Je souhaite ardemment que le livre de Madame Francine Bay soit lu par tous ceux qui voudront puiser force et courage avant de se lancer dans cette aventure dont dépend l’avenir de la France et son rayonnement spirituel.

Robert Cardinal Sarah

Table des matières d’Au matin de la France chrétienne

Introduction
Chapitre 1
Tout commence avec une barque
Chapitre 2
Saint Lazare, premier évêque de Marseille
Chapitre 3
Sainte Marie-Madeleine, apôtre de la Provence
Chapitre 4
Saints Maximin et Sidoine, premiers évêques d’Aix-en-Provence
Chapitre 5
Sainte Marthe, sainte Anne, saint Tropez
Chapitre 6
Saint Trophime, premier évêque d’Arles
Chapitre 7
Saint Martial, premier évêque de Limoges
Chapitre 8
Saint Amadour, ermite du Quercy
Chapitre 9
Saint Ausone, premier évêque d’Angoulême
Chapitre 10
Saints Austremoine et Nectaire, apôtres de l’Auvergne
Chapitre 11
Saint Paul-Serge, premier évêque de Narbonne
Chapitre 12
Saint Ruf, premier évêque d’Avignon..89
Chapitre 13
Saint Sernin, premier évêque de Toulouse
Chapitre 14
Saint Firmin, premier évêque d’Amiens
Chapitre 15
Saint Gatien, premier évêque de Tours
Chapitre 16
Saint Julien, premier évêque du Mans
Chapitre 17
Saint Memmie, premier évêque de Châlons-en-Champagne
Chapitre 18
Saints Euchaire, Valère et Materne, premiers évêques de Trèves
Chapitre 19
Saints Savinien et Potentien, premiers évêques de Sens
Chapitre 20
Saints Sixte et Sinice, premiers évêques de Soissons et Reims
Chapitre 21
Saint Front, premier évêque de Périgueux
Chapitre 22
Saint Ursin, premier évêque de Bourges
Chapitre 23
Saint Eutrope, premier évêque de Saintes
Chapitre 24
Saint Auspice, premier évêque d’Apt
Chapitre 25
Saint Crescent, premier évêque de Vienne et de Mayence
Chapitre 26
Saint Démètre, premier évêque de Gap
Chapitre 27
Saint Denis, premier évêque de Paris
Chapitre 28
Saint Saintin, premier évêque de Meaux et Verdun
Chapitre 29
Saint Nicaise, premier évêque de Rouen
Chapitre 30
Saint Clément, premier évêque de Metz
Chapitre 31
Saint Rieul, premier évêque de Senlis
Chapitre 32
Saint Bénigne, premier évêque de Dijon
Chapitre 33
Saint Pothin, premier évêque de Lyon
Carte de la Gaule romaine
Papes et empereurs des deux premiers siècles
Bibliographie
Index

Lu dans la presse

Le Figaro Histoire (n°59) :

« Inlassable apôtre de la transmission de la foi aux enfants, Francine Bay narre à tous l’histoire des premiers évangélisateurs de la Gaule d’une plume alerte, explicite, jamais infantilisante, riche de références et d’anecdotes. Grâce au zèle de prédicateurs infatigables, la Gaule était évangélisée dès la fin du Ier siècle. En ces temps crépusculaires, cet ouvrage pourra contribuer à ranimer l’âme missionnaire des chrétiens de France, qui, ayant reçu en héritage un inestimable patrimoine spirituel, architectural et artistique, pourront opportunément le transmettre à ceux, de plus en plus nombreux, qui l’ignorent, victimes assoiffées d’une culture qui a tari la source de leur propre identité. MP »

Dans Famille chrétienne (28 novembre 2021) :

« Tout a commencé par une barque partie de Palestine vers l’an 42. À son bord, Lazare et ses sœurs, accompagnés de quelques amis : Maximin, Sidoine, l’aveugle-né à qui Jésus avait rendu la vue… Arrivés en Provence, ils furent les premiers évangélisateurs de la Gaule. D’autres suivirent, envoyés par saint Pierre. Avec un vrai sens du récit, et dans un style accessible aux plus jeunes, Francine Bay nous entraîne au cœur de cette épopée missionnaire fondatrice de la France chrétienne. Le lecteur suit pas à pas chaque disciple sur sa terre de mission : Marthe à Tarascon, Amadour dans le Quercy, Gatien à Tours. Pour le cardinal Sarah qui en signe la préface, « ce livre doit être lu par tous ceux qui voudront puiser force et courage avant de se lancer dans l’aventure (de la nouvelle évangélisation) dont dépend l’avenir de la France. »

France catholique (n°3752) : 

« Avec des récits captivants, Francine Bay raconte les saints évêques fondateurs des diocèses français.
Tout le monde, ou presque, sait que la Provence a été évangélisée par Lazare, premier évêque de Marseille, et ses sœurs, Marthe et Marie, fuyant les persécutions de Palestine avant de débarquer aux Saintes-Marie-de-la-Mer, vers l’an 42, avec Marie-Madeleine et quelques autres. Mais ce qui est moins connu, c’est que saint Pierre lui-même a envoyé des missionnaires pour évangéliser la Gaule, sous domination romaine, au péril de leur vie : des disciples du Christ choisis parmi les soixante-douze, qui ont côtoyé le Seigneur de près, témoins privilégiés de sa parole et de ses miracles. Intrépides, ils vont sillonner la Gaule, empruntant les voies romaines pour annoncer l’Évangile : saint Martial, premier évêque de Limoges, saint Ausone, premier évêque d’Angoulême, saint Catien, premier évêque de Tours, saint Firmin, premier évêque d’Amiens, saint Julien, premier évêque du Mans, etc.
Des études très approfondies
En attestent des textes antiques cités par l’auteur : « Rome et toute l’Italie, l’Espagne, la Grande-Bretagne et la Gaule (…) virent s’étendre sur elles la main sacerdotale des apôtres sous la direction de Simon Képhas », rapporte un manuscrit syriaque du VI1′ siècle. « Une religion qui avait pris naissance sous Tibère avait déjà gagné toutes les parties de l’Empire sous Néron », signale Sénèque (4 av. J.-C. – 65 ap. J.-C.). Pour être encore plus précis, l’auteur renvoie aux 17 volumes des^lcfa sanctorum des Bollandistes « qui ont mené des études très approfondies sur environ 300 vies de saint ». Des pages d’histoire captivantes que l’auteur raconte avec talent, s’appuyant sur des textes, des traditions, des découvertes Au mâtin de archéologiques et qui font ressortir la profondeur des racines chrétiennes de notre pays.  Maryvonne Gasse »

Le mensuel La Nef (n°349) recommande le nouveau livre de Francine Bay Au matin de la France chrétienne :

« À l’heure où la France oublie ses racines chrétiennes, la parution de ce livre est particulièrement opportune. En se référant à des sources historiques irréfutables, son auteur met en évidence l’extraordinaire action de l’Esprit Saint qui, dès les premières années ayant suivi la Pentecôte, a dirigé des missionnaires vers la Gaule, alors partie de l’Empire romain, pour y poser les fondements du christianisme sur cette terre matrice de la nation française qui engendra la «fille aînée de l’Église ». La Provence, première étape de l’évangélisation, s’honore d’avoir accueilli les hôtes de Jésus à Béthanie (Lazare, Marthe et Marie-Madeleine) accompagnés de leurs amis (Maximin et Sidoine, l’aveugle guéri) et même de deux parentes de la Sainte Vierge, Marie Jacobé et Marie Salomé, également mères d’apôtres (Jacques le Mineur et Thaddée pour l’une, Jean et Jacques le Majeur pour l’autre). Le petit groupe avait été chassé de Palestine vers l’an 42. Lazare et Maximin furent les premiers évêques de Marseille et d’Aix-en-Provence. Dans leur sillage, d’autres missionnaires furent chargés d’annoncer le Christ dans toute la Gaule, de l’ouest au nord en passant par le centre et l’est. Certains faisaient partie des 72 disciples du Christ, d’autres étaient des compagnons de saint Paul. Qui sait aujourd’hui que le soldat saint Tropez s’était converti au contact de l’Apôtre qu’il était chargé de surveiller pendant sa détention à Rome?

Trente-trois diocèses ont été fondés dans cette période lointaine par des évêques dont certains furent consacrés par saint Pierre. Ils accomplirent de nombreux miracles, mettant fin au culte des idoles en se servant notamment du bâton que le premier pape leur avait remis. Quelques-uns subirent le martyre, comme saint Denis, premier évêque de Paris, décapité à Montmartre, ou saint Pothin, envoyé par saint Polycarpe, évêque de Smyrne (Asie Mineure) pour fonder le diocèse de Lyon où il fut exécuté avec 48 autres chrétiens. Francine Bay évoque l’apostolat d’autres personnages présents dans l’Évangile, tel Za-chée, le collecteur d’impôts de Jéricho, qui mourut ermite à Rocamadour. Elle relate aussi les circonstances de l’arrivée en Gaule de reliques illustres, comme celle de sainte Anne à Apt. Assorti de très belles illustrations, ce livre est une invitation à reprendre « l’épopée missionnaire » des premiers temps, comme y invite le cardinal Robert Sarah dans sa préface car, insiste-t-il, « l’avenir de la France et son rayonnement spirituel » en dépendent. »

Annie Laurent

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Le bimensuel L’Homme Nouveau (août 2021) :

« II est temps de rendre justice à ces grands oubliés qui, dès les deux premiers siècles, et au risque de leur vie – car la plupart sont morts martyrs – ont foulé le sol de notre pays pour lui apporter la Bonne Nouvelle. » Mais qui sont ces « grands oubliés » ? Ils portent les noms, qui apparaissent dans l’Évangile, de Lazare, Marthe et Marie-Madeleine ; mais aussi ceux ce Maximîn, Sidoine, Trophime, Martial ou Amadour ; sans oublier les célèbres Denis, Geneviève ou Martin, Impossible de les citer tous ici ! Ces noms, on les retrouve d’abord en Provence et dans le sud de la France ; puis, grâce à eux, on peut suivre la progression de la foi dans notre pays, tels des grains de blé féconds semés à travers les diverses contrées.
Le livre de Francine Bay leur rend un vibrant hommage en racontant, de mnière très vivante, leur vie apostolique en Gaule dès le Ier siècle,. s’appuyant sur des citations, des témoignages, des études scientifiques, illustrés de photos en couleur. Pas moins d’une trentaine de saints figurent dans ce recueil passionnant qui exhume la vie d’hommes et de femmes témoins de l’amour de Dieu et qui ont si profondément marqué notre pays qu’ils lui ont donné ses fameuses racines chrétiennes que certains voudraient tant couper. Un très beau livre qui unit histoire et piété, facile à lire à partir de 12 ans, Marie Lacroix »

 

 

 

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